Micros crédits ou petits crédits, cela fait partie de débats entre économistes et chacun a sa recette, ses gourous starisés ou nobélisés. Mais tout l’enjeu de la consommation tourne autour de règles simples : faut-il privilégier l’offre ou encourager la demande ? A quels coûts pour l’économie ? Avec quels supports et à quels prix pour les bénéficiaires ?
C’est l’objet de divergences entre la droite et la gauche. D’autant qu’avec la mondialisation des échanges les effets des politiques nationales sont lissés. Les recettes tentées ces dernières années ne visaient pas à rétablir les taux de marges des entreprises.
Elles ont eu l’effet de pétards mouillés. Les effets d’annonces ne suffisent donc plus face à l’instabilité. Et le double langage bride durablement la reprise. Ce type de produits peut-il nous permettre de redevenir une grande puissance économique ?
À lire également
-
Municipales 2026 : la CPME Paris dévoile son Livre Blanc et appelle à un “nouveau pacte de confiance” pour sauver l’économie de proximité
-
Pour que vivent nos communes, libérons leurs maires !
-
Retraites : stop aux dérobades, crevons l’abcès par référendum
-
État de droit : résistons aux tentations du court terme
-
Les PME entre soulagement et inquiétudes sur les droits de douane transatlantiques