Vous avez créé votre think tank pour sortir les PME de l’ombre il y deux ans. La situation a-t-elle changé ?
En 2011, nous sommes partis du constat que l’on ne parlait rarement des PME en bien, alors que nous avions de nombreuses remontées du terrain prouvant que ces entreprises montrent comme les groupes de bonnes pratiques en matière de performances économiques, de développement durable, etc. Depuis deux ans, il y a une vraie prise de conscience, et la voix des acteurs de terrain est davantage prise en compte. Les PME sont même devenues à la mode.
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