Pour les entreprise Franciliennes, l’impossibilité de traverser Paris via les voies sur berges constitue un risque et un coûts supplémentaires pour leur activité. Les PME du transport, des fruits et légumes, produits frais, de déménagement et l’hôtellerie-restauration sont particulièrement pénalisées. Elles sont d’autant plus touchées que le Conseil de Paris vient de voter la fermeture à la circulation de la voie Georges-Pompidou sur 3,3 kilomètres, sans expérimentation préalable ni concertation…
Crédits photo : Christophe Ena/AP
À lire également
-
Solidarité avec le Maroc : soutenir aussi le tourisme pour aider concrètement
-
TRIBUNE | La numérisation des TPE-PME, grande cause nationale
-
TRIBUNE | Culture : diversifier les financements pour ne pas se payer… de mots !
-
Après la réforme des retraites, réapprendre la démocratie et renouer le dialogue
-
Le Figaro | Paris : bientôt des manifestations sur le périphérique ?