Personne ne le conteste, la vitalité des PME est cruciale pour l’emploi. Elle l’est aussi pour le redressement de notre industrie et du commerce extérieur principaux vecteurs de la croissance. Et dans la chaine des valeurs ajoutées qui aboutit à un bien fini, ce sont souvent nos PME qui apportent le plus de maillons véritablement français. Osons le dire, grâce aux PME et aux ETI la situation peut être redressée alors qu’à fin septembre 2012 le déficit des transactions courantes représente 2,3 % du PIB et celui des biens 3,5 %. Acteurs privés et publics se disent déterminés. Mais il faut plus que des mots pour y arriver. C’est pourquoi deux ressources sont nécessaires: le financement et l’information.
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