L’année 2012 n’aura pas dopé le moral des patrons de très petites entreprises (TPE). Et tout laisse à penser qu’il restera tristement bas tout au long de l’année à venir. Comment l’expliquer ? Sinistrose, perte de repères, manque de confiance en notre économie, décalage avec les élites, craintes de l’avenir ? Il y a de tout cela à la fois. Les TPE ont l’impression de ne pas trouver place dans la société d’aujourd’hui. Et ne se reconnaissent pas dans l’image étriquée qu’on leur colle. Elles sont aussi dans l’attente de financements de court terme pour fonctionner. Les TPE ont enfin besoin de plus de flexibilité dans le travail pour répondre à une demande en « start and stop ».
À lire également
-
Gouvernance de l’UE : peut et doit mieux faire
-
Assouplir le travail dominical, l’autre héritage souhaitable des Jeux
-
Nouveau gouvernement Attal 2 : des paroles de délivrance aux actes pour délivrer
-
Dans l’entreprise aussi, la religion ne doit pas faire la loi
-
Le plus bel héritage des JOP de Paris 2024