Paris : à pied, à cheval ou en scooter électrique ?

Paris : à pied, à cheval ou en scooter électrique ?

La rentrée des Parisiens se fait donc sans AutoLib qui a mis la clef sous la porte cet été. Et comme je ne veux pas ajouter à votre peine, je n’évoque pas Vélib’Métropole qui, après la galère des premiers mois, semble « enfin » tenir la route. Et puis à Paris, si on n’est pas chargé comme nos artisans, ou en urgence comme nos professions de santé, reconnaissons qu’il y a une multitude d’autres moyens de transports, plus ou moins durable, à commencer par le Métro ! Même si parfois la durée des trajets est un peu… longue. Alors comme c’est la rentrée, que les vacances nous ont rechargés, on peut partir sur un nouveau rythme. C’est pourquoi, j’ai voulu faire un test avec CityScoot.

Tout d’abord l’inscription, via mobile, est facile sur l’application. Aucun problème, c’est relativement clair même assez ludique. Et un bon point pour la réactivité concernant les explications et la validation de votre adhésion. Et la réactivité de la hot line.
Ensuite, il faut prendre la route. Je me demandais ce qui allait m’arriver car c’était la première fois depuis très, très longtemps que je prenais en main, à Paris, un 50 cm3. Plus encore, même, une découverte d’un scooter électrique en petite cylindrée. J’y allais donc, dès potron minet, guilleret avec en tête la check liste de démarrage bien apprise. Mon coup d’essai, hélas, n’a pas été un coup de maître. En effet, arrivé confiant devant le scooter que j’avais choisi, j’ai n’ai pas réussi à le mettre en marche. Normal un appel à l’assistance m’a appris qu’il avait un problème de démarrage. J’ai donc choisi un autre 2Roues disponible et migré 250 m plus loin, pour recommencer !

Cette fois, comme sur du velours, code fait, casque charlotte et gants mis, béquille baissée, j’ai pu prendre la route, comme si ce n’était pas la première fois. Et Zou ! Non sans une certaine appréhension tout de même. Vite dissipée, il est vrai. Le scooter a un démarrage doux, même s’il m’a est un peu lourd au début. Lourdeur, sans doute, due au poids des batteries. Un poids qui est un atout sur les pavés de Paris car contrairement aux autres petits 2Roues, il est bien stable et ne saute pas, comme un cabri en fonction des imperfections de la route. Coté protection, le tablier conducteur n’a pas non plus un poids plume, mais il doit bien protéger de la pluie et du froid vu son épaisseur. Bilan de la conduite : un coût de 0.28 cts ou 0.20 cts/mn et une bonne balade dans Paris pour aller au bureau, avec des accélérations douces et un respect, off course, des limitations de vitesse. Il est vrai qu’il est difficile de faire autrement quant on plafonne à 47 km/h, je reconnais sans vent, et que la circulation sur périphérique n’est pas autorisée.

Enfin, cette belle première expérience m’a donné l’occasion de voir que tout avait été pensé et que le niveau de sécurité était là, avec ce qu’il faut pour l’hygiène du casque sous la selle. Un bémol, pour faire ses emplettes il faudra prévoir autre chose. Mais on en parle plus longuement, ensemble, le 10 octobre 2018, lors de l’Université Francilienne des Entrepreneurs CPME Paris IDF, #UFE2018, à l’occasion de le table ronde sur les mobilités durables.

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