Ces dernières semaines, après deux interventions ministérielles et malgré une implication forte de la Banque de France, la France qui jusqu’à présent faisait partie des bons élèves de l’Europe sur la migration SEPA est désormais en retard. À moins d’un mois de l’échéance, on ne peut s’empêcher de se poser des questions sur la situation de nos entreprises et la fluidité des moyens de paiements dans notre économie.
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