Mes voeux les plus sincères…
Le marathon des voeux commence. Inutile d’y échapper, c’est une belle tradition et certains ont même devancé l’appel. Les politiques ont débuté les premiers suivis d’une cavalcade d’anlayses et de commentaires plats qui auraient bien pu trouver leur place à autre moment. Tout cela preterai simplement à sourire si nous n’avions pas vraiment besoin de bons voeux pour 2012, les meilleurs même.
Car pour les entreprises, particulièrement les TPE, PME et PMI, l’année passée a été difficile. Beaucoup trop d’entreprises ont fermé, cessé une activité, beaucoup trop ont connu et connaissent encore des difficultés de financement, beaucoup encore restent soucieuses pour leur avenir, leur développement et l’emploi.
Les patrons de PME ont vraiment besoin de bons voeux et…d’encouragements. Et ils attendent des bonnes nouvelles. Non pas du genre de celles qui font croire qu’une élection fut elle présidentielle peut tout changer. Non de pas celles qui font accroire que tout notre mal vient de notre monnaie l’Euro. L’Euro a renforcé notre stabilité commune, comment aurions nous fait sans ?
Les PME attendent des bons voeux. Et le premier d’entre eux serait déjà que l’on reconnaisse pleinement leur spécificité, leur particularité, leurs idées et leur contribution efficace à l’effort national. Ce n’est malheureusement pas toujours le cas dans notre pratique institutionnelle. Cette reconnaissance de représentativité serait, en 2012, une bonne nouvelle. La fin d’une discrimination, le « vrai changement » en quelque sorte !
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