Le second tour pour l’élection du président de la République semble, faute de perspectives sur l’emploi, considérer comme accessoire le train de dégradation sociale qui touche à la fois les salariés et les petits patrons. Depuis septembre 2008, le tsunami économique, financier et social emporte tout. Nul n’est donc à l’abri d’un problème professionnel, d’un accident de la vie ou d’un refus d’accès au crédit. Dans ce contexte l’insertion par l’activité économique est le parent pauvre des politiques de l’emploi. Ce monde est celui des publics en difficultés, sans diplômes. Doit-on les oublier ?
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