Le gouvernement mise sur l’investissement des entreprises pour amorcer la reprise et l’assurance-crédit, fait feu de tout bois pour séduire les PME. Mais le mariage de raison entre les PME et les assureurs-crédits n’a pas toujours été sans nuages. Au début de la crise, les patrons de PME ont vu certaines sociétés d’affacturage dénoncer, sans ménagement, leurs engagements. Mais il faut aujourd’hui tourner la page, ouvrir un nouveau chemin, et sur le financement des PME abandonner les idées reçues.
À lire également
-
À la recherche du collectif perdu : le rôle crucial de l’entreprise
-
Dette publique : L’Etat doit déléguer aux entreprises
-
À Paris, un nouveau scrutin et l’avènement d’une ville PME Friendly
-
La valeur travail doit redevenir plus consensuelle au sein de la société.
-
Demandons plus à l’impôt et moins au contribuable