Après 12 années de mandat de Jean-François Roubaud, la CGPME change de président. Le choix du successeur n’est pas vraiment une surprise. François Asselin, chef d’entreprise en activité, est le seul et unique candidat. Il est aussi membre du comité exécutif de la CGPME et vice-président de la puissante fédération du bâtiment. Contrairement à d’autres organisations, partis ou syndicats, ce changement n’est pas l’occasion de primaires. Il se fait sur tapis vert et sans douleur. La CGPME a un nouveau président. Il est désormais confronté, avec toute son organisation, à trois défis importants: celui de la représentativité, des reformes structurelles internes et de l’affirmation d’un projet…
À lire également
-
Gouvernance de l’UE : peut et doit mieux faire
-
Assouplir le travail dominical, l’autre héritage souhaitable des Jeux
-
Nouveau gouvernement Attal 2 : des paroles de délivrance aux actes pour délivrer
-
Dans l’entreprise aussi, la religion ne doit pas faire la loi
-
Le plus bel héritage des JOP de Paris 2024