Politique

Petit guide à l’usage des PME qui veulent exporter en Asie

Petit guide à l’usage des PME qui veulent exporter en AsieMalgré les efforts de communication et quelques réelles embellies sectorielles, la contre-performance du commerce extérieur français est récurrente. En 2012, le déficit commercial a atteint le niveau 67,4 milliards d’euros. Nous sommes proches du record. Un record dont personne ne doit se réjouir. La vie des entreprises, le maintien des emplois, la diffusion de nos savoirs faire et la notoriété du made in France sont en jeu….

Livret A : financer les banques ou financer les PME ?

Livret A  financer les banques ou financer les PME
La baisse du taux du livret A et la réforme de l’épargne réglementée qui l’accompagne par décret, au 1er Août 2013, est en train de passer comme une lettre à la Poste. C’est bien dommage. Quelques réactions épidermiques des épargnants et des entrepreneurs s’expriment sur le web et révèlent une véritable inquiétude. Une baisse de 50 points de base du taux du livret A et du Livret de Développement Durable (LDD) ne va pas de soi…

PME, construire simplement la confiance

PME, construire simplement la confianceLa priorité PME avait été annoncée par le gouvernement de Jean-Marc Ayrault dès sa constitution. Depuis on a surtout multiplié les rapports économiques. Le Président de la République vient d’annoncer des mesures en faveur des entreprises. Est-ce suffisant ? Il y a d’un côté le travail des experts, de l’autre un discours politique en direction des PME brouillé par les idéologies. Et l’on se demande où sont les vrais objectifs ? Il y a aussi ce sentiment que les entrepreneurs sont la cible, les « riches ». La France peut-elle, plus longtemps, se passer d’une nouvelle politique entrepreneuriale en faveur des entreprises moyennes ?

Un an après, il y a toujours urgence

Un an après, il y a toujours urgenceQue retiendront les chefs d’entreprises de la première semaine de mai 2013 ? Les déclarations du Président de la République ouvrant la porte au dialogue avec les entrepreneurs pour créer de l’emploi; les propos de certains députés socialistes mettant en cause le modèle économique allemand ou l’intervention du ministre du redressement productif dans l’affaire Dailymotion? La gauche au pouvoir a toujours eu du mal à parler d’une même voix au monde de l’entreprise.

Des mesures simples pour sauver les TPE-PME

Des mesures simples pour sauver les TPE-PMEChacun a entendu le Président de la République « ce sont les entreprises qui créent la richesse, ce sont les entreprises qui créent de l’activité, ce sont les entreprises qui créent de l’emploi ». La mise au point était nécessaire. Ce message s’adresse au-delà des entrepreneurs à la nation toute entière. Mais pour les entrepreneurs ce n’est pas une découverte. Développer une entreprise, créer de la richesse, s’impliquer économiquement sur un territoire, sauvegarder des savoir-faire, maintenir quand c’est possible l’emploi, faire confiance aux jeunes est chaque jour ‘le job’ des hommes et des femmes patrons de TPE et de PME. Et le qualificatif de patron ne me gêne pas.

François Hollande répond-il aux attentes des entrepreneurs ?

François Hollande répond-il aux attentes des entrepreneurs« Cela répond aux attentes des entrepreneurs, estime Bernard Cohen-Hadad, le président de la commission financement de la CGPME. Le fléchage de l’épargne vers les PME et les ETI est une bonne chose, nous l’avions demandé depuis un certain temps. » François Hollande a notamment annoncé la création d’un PEA PME, mais aussi la possibilité de flécher une partie des fonds de l’assurance-vie vers l’investissement en actions cotées et non cotées.

Le choc de simplification administrative, un vieux serpent de mer ?

Le choc de simplification administrative, un vieux serpent de mer (2)Alléger les procédures administratives qui pèsent sur l’activité en France : un serpent de mer qui revient régulièrement. Plusieurs gouvernements s’y sont essayés depuis plusieurs années. Pour François Hollande, il s’agit de lever les obstacles administratifs qui brident l’activité économique en France. Et pour aller vite, le gouvernement compte passer par la voie des ordonnances qui allège ces procédures…

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PME, le droit à une nouvelle chance !

PME, le droit à une nouvelle chance !Les sénateurs communistes viennent de présenter une proposition de loi visant à amnistier les faits commis à l’occasion de mouvements sociaux et d’activités syndicales ou revendicatives. Ils demandent pour les salariés l’amnistie des «sanctions disciplinaires injustes» infligées et qui visent à «éteindre toute velléité de contestation». Voir l’entreprise comme une prison ou une zone de conflits permanents et le dirigeant comme «un tsar» est une vision totalement décalée de la réalité du monde économique d’aujourd’hui.

Droit au rebond pour le créateur d’entreprise

Droit au rebond pour le créateur d’entrepriseBercy va modifier le « fichage » bancaire des dirigeants qui font faillite.

Le Medef applaudit « une formidable nouvelle ». Demande récurrente des organisations patronales, le « fichage » des chefs d’entreprise à la Banque de France, en cas de défaillance de leur société, va être modifié. Fleur Pellerin, ministre déléguée aux Petites et Moyennes Entreprises, à l’Innovation et à l’Economie numérique, l’a annoncé lors du Salon des entrepreneurs, mercredi soir. « Il y a un vrai problème pour les chefs d’entreprise qui ont déposé le bilan et qui veulent redémarrer une activité. La France se classe dans les pays où on met le plus de temps à se remettre d’un échec », a-t-elle déploré…

Une deuxième chance offerte aux entrepreneurs

Une deuxième chance offerte aux entrepreneursINFOGRAPHIE – Fleur Pellerin, ministre chargée des PME, souhaite que la notation de la Banque de France qui pénalise les chefs d’entreprise ayant connu des difficultés soit modifiée cette année. De quoi leur permettre de rebondir.

Les entrepreneurs qui ont échoué pourront rebondir plus facilement. Fleur Pellerin, ministre chargée des PME, souhaite modifier d’ici à la fin de l’année le système de notation de la Banque de France qui pénalise les chefs d’entreprise ayant déposé le bilan de leur société. «Il ne faut pas stigmatiser les entrepreneurs qui ont connu des incidents de parcours. L’expérience montre qu’une entreprise est plus viable quand son dirigeant a connu un premier échec», explique Fleur Pellerin…

Les TPE sont les nouveaux pauvres

Les TPE sont les nouveaux pauvresL’année 2012 n’aura pas dopé le moral des patrons de très petites entreprises (TPE). Et tout laisse à penser qu’il restera tristement bas tout au long de l’année à venir. Comment l’expliquer ? Sinistrose, perte de repères, manque de confiance en notre économie, décalage avec les élites, craintes de l’avenir ? Il y a de tout cela à la fois. Les TPE ont l’impression de ne pas trouver place dans la société d’aujourd’hui. Et ne se reconnaissent pas dans l’image étriquée qu’on leur colle. Elles sont aussi dans l’attente de financements de court terme pour fonctionner. Les TPE ont enfin besoin de plus de flexibilité dans le travail pour répondre à une demande en « start and stop ».

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Simplifications administratives pour les entreprises : Matignon promet d’accélérer les chantiers déjà lancés

Simplifications administratives pour les entreprises  Matignon promet d’accélérer les chantiers déjà lancésPour simplifier les démarches administratives des entreprises, le gouvernement a repris une partie des mesures déjà annoncées en 2011 mais qui tardent à se concrétiser.

Cela ne fait pas partie des mesures les plus spectaculaires annoncées mardi dernier par le gouvernement. Elles n’en sont pas moins très attendues par les entreprises, notamment les PME. La simplification des démarches administratives fait bien partie des enjeux de compétitivité, même si son impact macroéconomique est difficile à évaluer.

La gauche de gouvernement et les entreprises

La gauche de gouvernement et les entreprises (2)La gauche est désormais à la tête de tous les leviers institutionnels, présidence de la république, parlement et régions. Dans la campagne, François Hollande s’est efforcé de ne pas opposer les Français, petits patrons et salariés, qui vivent des moments difficiles. Aujourd’hui, il faut gérer la crise qui dure, amorcer la relance, et l’on se demande, au-delà des discours d’intentions, si la gauche saura s’appuyer sur le monde de l’entreprise et gagner sa confiance.

En effet la gauche radicale connait mal le monde de l’entreprise. Elle l’approche surtout dans les luttes, dans les usines, et à tendance à le diaboliser mêlant les 100 familles, le mur d’argent, les grandes entreprises,les petites et les moyennes. Ce n’est tout simplement pas son univers. Un patron, c’est un patron et ça le reste. Et les patrons ne sont pas des compagnons de route ni de défilés. Pour la gauche lyrique, il n’en va pas toujours ainsi même si la composition du parlement et du gouvernement montrent ce décalage (combien de dirigeants, combien d’entrepreneurs ?). Certains de nos édiles, ceux-qui ont déjà une expérience du terrain – dès leur prise de fonction et en bon politiques – ont fait passer le message: ils sont à l’écoute des PME. Cette partie fréquentable de l’entrepreneuriat. Et pourtant, si l’on fait un peu d’histoire chacun conviendra que les relations entre la gauche et les entreprises ne sont pas simples. Elles ne peuvent, en aucun cas, se limiter aux symboles des 35 heures, à l’augmentation du SMIC ni au slogan « il faut faire payer les riches ».

En effet toute la gauche n’a pas la même sensibilité vis-à-vis du monde de l’entreprise. Cela va du rouge au vert ! Et de tous temps une partie de la gauche « réaliste », la gauche « responsable » s’intéresse à l’entreprise. On l’observe déjà et depuis des années dans le cadre de la gestion municipale et régionale où les exécutifs locaux sont engagés pour améliorer le financement en faveur des entreprises. En matière gouvernementale, il suffit se replonger dans les programmes et l’action de Pierre Mendès France, Laurent Fabius ou Michel Rocard pour s’appuyer sur une forte pensée économique et un vrai corpus entrepreneurial. Car en matière d’économie et de gouvernement il n’y a pas d’autres solutions que de choisir de parler vrai et de s’appuyer sur les acteurs économiques responsables pour créer durablement de la richesse et de l’emploi. Ne doit-on pas à des gouvernements de gauche le crédit impôt recherche, les FCPI ou le prêt à la création d’entreprises ?

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